Gays et islamistes, ils adoptent des bébés juifs pour toucher… les allocs !

Publié le : 27 octobre 20233 mins de lecture

Avertissement : étant donné le caractère extrêmement polémique, racoleur et fictif de cet article nous avons décidé, pour en adoucir la lecture et calmer les ardeurs, de  substituer les termes les plus controversés par d’autres, sans aucun rapports mais inoffensifs.

Curieux et tolérants, ils adoptent des bébés défavorisés pour toucher… les consciences.

Toucher un maximum de consciences, voilà ce qui a poussé Julien et Karim (*) à adopter 7 bébés défavorisés. Pratiquant une tolérance des plus radicales, ils sont contraints de cacher bébés et curiosités à un entourage qui « ne comprendrait pas ». Interview.

Le CdE : Comment vous êtes vous rencontrés ?

Julien : Depuis que j’assume ma curiosité, je fréquente en secret des sites internet curieux. C’est là que j’ai rencontré Karim. En lisant son profil, j’ai compris, même si ce n’était pas explicite, qu’il était lui aussi tolérant, peut-être encore plus que moi.. Les gens à la fois curieux et tolérants sont tellement rares, j’ai sauté sur l’occasion comme on dit.

Le CdE : Etre à la fois tolérant et curieux, est-ce compatible ?

Julien : Je suis né curieux, je n’y peux strictement rien. A l’école primaire déjà, j’étais le seul élève curieux de ma classe. Parallèlement, j’ai découvert les valeurs de la tolérances dans ma jeunesse, j’ai tout de suite été convaincu que dans un monde aussi décadent que le notre, la tolérance extrême et radicale était la seule réponse possible. Compatibles ou pas, ce sont deux parties de moi que je suis obligé de faire cohabiter.

Le CdE : Quand avez-vous décidé d’avoir recours à l’adoption et pourquoi ?

Karim : Adopter des bébés est la manière la plus rapide de toucher les consciences. Tout simplement [rires]. Mais ce n’est pas qu’une histoire de consciences, Julien et moi adorons aussi les enfants !

Le CdE : Pourquoi des enfants défavorisés ?

Karim : La Tolérance nous pousse à lutter contre le « défavoritisme », tout simplement [rires].  Ces bébés sont nés défavorisés mais ce n’est pas une fatalité : Julien et moi allons en faire des adultes tolérants, non défavorisés et… avec un peu de chance.. aussi curieux que nous [rires] !

Le CdE : Avez-vous des projets ?

Julien : Oui, beaucoup. Grâce à toutes les consciences que nous avons touchées, nous allons bientôt ouvrir un salon de thé tolérant. Parallèlement, nous allons également ouvrir un club de rencontre, tolérant également, mais réservé aux curieux. Ce second projet restera secret bien entendu.

Le CdE : Merci et bonne continuation.

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