La transmission maladie microbiome est-elle la principale cause de certaines maladie ?

La transmission maladie microbiome est-elle la principale cause de certaines maladie
On a prouvé lors d’une étude que la transmission maladie microbiome est la principale cause de plusieurs maladies comme l’obésité ou le diabète. Retrouvez ici les points importants sur la microbiome.

Un projet de recherche international sur la transmission maladie microbiome

Une équipe de recherche internationale, à laquelle participe le professeur Thomas Bosch de l’Université de Californie, a fait une étude sur la transmission maladie microbiome. En fait, il a démontré lors de son projet que sur les « maladies non transmissibles » pouvaient être transmises d’une personne à l’autre par le microbiome. Les maladies telles que les maladies cardiovasculaires ou le cancer sont les principales causes non naturelles de décès dans le monde. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a défini ces principaux virus comme non transmissibles. Mais le covid, la maladie pulmonaire ou intestinale sont aussi mortels. En fait, on suppose pendant l’étude que les facteurs génétiques se combinent avec la mode de vie et l’environnement pour causer ces principales maladies. Ces dernières peuvent être transmissible entre les personnes.

Une hypothèse audacieuse sur la transmission maladie microbiome

Les chercheurs du groupe de Bosch à l’université de Kiel ont pu démontrer le troisième aspect en particulier sur la transmission maladie microbiome. « Si les animaux de laboratoire tels que les polypes d’eau douce ne sont pas gardés individuellement, mais plutôt pendant une certaine période de temps dans un habitat commun, leurs microbiomes et par la suite aussi leur apparence extérieure s’adapteront d’abord les uns aux autres », résume le coauteur Bosch. « On a pu montrer lors de’une étude que les microbes passent directement d’un individu à l’autre. Il est possible que cette transmission du microbiome se produise également pendant la coexistence humaine. Par exemple par le biais de contacts sociaux intensifs ou dans des appartements partagés », soupçonnait Bosch.

Initiation de nouveaux travaux de recherche sur la transmission maladie microbiome

La nouvelle hypothèse de l’équipe du CIFAR sur la transmission maladie microbiome se base sur un échange exploratoire interdisciplinaire des experts coopérante. Il s’agit surtout d’un programme de recherche sur l’étude de microbiome et de leurs différentes perspectives scientifiques. Formulée au départ uniquement comme une expérience de pensée, il est vite apparu qu’il existe un grand nombre d’indications claires provenant des différentes disciplines qui rendent la nouvelle théorie plausible. Si elle s’avère correcte, elle aura évidemment des conséquences de grande portée pour la santé publique. Les chercheurs soulignent que leur hypothèse est audacieuse et que le nombre des mécanismes impliqués est encore inconnu. « Nous ne savons pas dans quels cas cette forme de transmission est en cours d’évolution ou si un état sain peut également être transmis », a déclaré la coauteure Maria Gloria Dominguez-Bello, professeur à l’université Rutgers du New Jersey. « Nous avons besoin de plus de recherche et de plus d’étude pour comprendre la transmission maladie microbiome et ses effets », a poursuivi M. Dominguez-Bello. Cependant, il ne fait aucun doute aujourd’hui qu’il existe un lien significatif entre un microbiome perturbé et de nombreuses maladies comme le covid ou la maladie intestinale. D’autres recherches montreront comment le microbiome interagit avec d’autres influences, par exemple certaines conditions environnementales et des facteurs génétiques dans la transmission de diverses maladies. « La nouvelle hypothèse montre clairement que nous examinons désormais beaucoup plus attentivement qu’auparavant les perturbations de la colonisation microbienne du corps comme cause de maladie, et que nous devons également étudier de plus près les voies de transmission potentielle », a souligné M. Bosch. « Cet aspect sera l’un des points centraux de notre travail dans notre Centre de recherche collaborative sur les métaorganismes dans les années à venir », a conclu M. Bosch.

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